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Pour ton bien
«En votre nom» ou «pour vous»
J'ai porté réprimande
On parle des reproches des ennemis de l'écrivain comme d'une lourde charge qu'il a dû subir porter. AT: «J'ai subi les insultes de mes ennemis» (voir: métaphore )
la honte a couvert mon visage
L’écrivain parle de la honte qu’il ressent comme si c’était une chose immonde sur son visage que tout le monde peut voir clairement. AT: «Je suis complètement humilié» (voir: métaphore )
Je suis devenu étranger à mes frères
L’écrivain parle de lui-même comme s’il ne faisait pas partie de sa propre famille. AT: «Mes frères ne sont plus connais-moi ou accepte-moi du tout »(voir: métaphore )
étranger à mes frères… étranger aux enfants de ma mère
Ces deux phrases signifient la même chose. Ils sont répétés pour souligner sa séparation de la sienne famille. (Voir: parallélisme )
un étranger aux enfants de ma mère
Il est implicite que «je suis devenu» doit être compris ici. L’écrivain parle de lui-même comme s’il ne faisaient pas partie de sa propre famille. AT: «Mes frères ne me connaissent plus plus et ne me font plus confiance» (Voir: Ellipsis et métaphore )
le zèle de ta maison m'a mangé
L'écrivain parle de son zèle pour le temple de Dieu comme s'il s'agissait d'un animal sauvage qui dévore l'écrivain. À: «Le zèle que j'ai pour votre maison me consume» (Voir: Personnification )
m'a mangé
Cet idiome signifie que le zèle de l'écrivain pour le temple emporte toutes ses pensées et actions. AT: "contrôle complètement tout ce que je pense et ce que je fais" (Voir: Idiom )
les rebukes… sont tombés sur moi
L’écrivain parle des réprimandes des ennemis des dieux comme s’il s’agissait de pierres lancées au écrivain. AT: «Ceux qui te réprimandent ont aussi lancé leurs réprimandes sur moi» (Voir: Métaphore )